Catégories
Blog

La place du vélo dans le plan de déplacement d’entreprise (PDE)

Dans le cadre de l’orientation écologique, les autorités publiques sous l’égide de l’ADEME, ont mis en place une série de mesures de façon à promouvoir les modes de déplacements alternatifs à la voiture individuelle.

Son nom ? PDE pour Plan de Déplacements d’Entreprise et il est ambitieux. Quelles sont ces mesures et comment peuvent-elles modifier en profondeur l’image de l’entreprise ?

Le PDE, un véritable projet d’entreprise

Il ne s’agit plus d’un simple saupoudrage qui consisterait à valoriser le covoiturage, mais de mesures qui visent à refonder les modes de déplacements au sein de l’entreprise. Ceux-ci sont variables :

  • Déplacements des salariés depuis le domicile jusqu’au lieu de travail ;
  • Transports des marchandises ;
  • Tous les déplacements annexes concernant les transferts de collaborateurs, partenaires, fournisseurs, visiteurs…

S’inscrivant en force dans ce plan, le vélo d’entreprise tient une place prépondérante. C’est en effet un mode de déplacements qui conjugue de nombreux avantages, que ce soit pour des déplacements entreprise que plus largement pour la vie quotidienne.

Ces mesures permettent de l’envisager de façon plus naturelle en facilitant tout ce qui concerne son entretien ou encore sa place de parking, etc. Quelles sont les nouveautés proposées pour mieux profiter de votre « Petite Reine » ?

Des mesures pour arrêter de pédaler dans le vide en entreprise

La pratique du vélo professionnel est à la fois très avantageuse pour le climat et bonne pour la santé, peut être contraignante au quotidien. Il arrive que les cyclistes arrivent sur leur lieu de travail en sueur, dans une condition physique peu propice au travail.

De façon à encourager la pratique du vélo de fonction, l’entreprise peut mettre à la disposition des employés qui désirent passer aux déplacements en vélo des structures comme :

  • La possibilité de bénéficier d’un stationnement sécurisé au sein de l’entreprise ;
  • Des avantages ou aides pour l’entreprise afin de réaliser l’achat de vélos à assistance électrique ou des vélos de fonction

Comme on le voit, ces mesures sont nombreuses et il reste aux entreprises de s’en emparer. Tim Sports est à leurs côtés pour les épauler.

Catégories
Blog

Le vélo de fonction, un avantage de plus en plus prisé

La pratique du vélo s’intensifie dans les métropoles. Beaucoup de citadins s’en servent pour circuler plus facilement en ville et pour se rendre sur leur lieu de travail.

Face à cette tendance, une nouvelle forme de service émerge, la mise à disposition de vélos de fonction pour les employés. Prisée par les entreprises, la location de vélos urbains présente de nombreux avantages autant pour les salariés que pour les professionnels. Zoom sur ce plan de mobilité nouvelle génération.

Le vélo de fonction au service des entreprises

Le bien-être au travail est devenu un enjeu de taille pour beaucoup de professionnels. Désormais, les entreprises investissent dans de nouvelles solutions afin d’améliorer les conditions de travail de leurs employés. Nouvelle tendance en vogue ? Le vélo de fonction.

Les employeurs fournissent à leurs collaborateurs des vélos de ville ou électriques pour leurs trajets professionnels et/ou personnels. Mais le deux-roues à pédales a également pour avantage la fiscalité. En effet, un crédit d’impôt est octroyé aux sociétés qui font profiter ce service de location à leurs collaborateurs, et ce, avec une participation de leur part de 30% du prix du loyer pour éviter une requalification d’avantage en nature par l’URSSAF.

Enfin, en adoptant ce plan de mobilité, les entreprises y gagnent : moins de retards, meilleure disponibilité, moins de grèves, plus de concentration, etc. Tous ces bienfaits profitent à la performance globale.

À bicyclette, les salariés tirent profit de leurs déplacements

Du côté des salariés, l’utilisation du vélo de fonction présente également des atouts. Dans les grandes villes, la circulation se densifie chaque jour, avec les contraintes qui vont avec comme la pollution, le stress ou les bouchons.

Le service de location de vélos proposé par les entreprises permet donc aux collaborateurs de simplifier leurs déplacements tout en pratiquant une activité physique bonne pour la santé. En outre, pédaler est économique et écologique. C’est une manière de diminuer son empreinte carbone tout en réduisant ses dépenses.

Aujourd’hui, les villes sont équipées et adaptées à ce mode de transport. En Île-de-France, ce sont par exemple 5 835 pistes cyclables qui sont mises à disposition des cyclistes urbains, de quoi se déplacer en toute sécurité !

Pour résumer, utiliser un vélo d’entreprise pour se rendre jusqu’à son lieu de travail ne repose plus sur une volonté individuelle. Les entreprises elles-mêmes s’impliquent. Et ça marche plutôt bien, car le vélo de fonction a le vent en poupe.

Grâce à un procédé gagnant-gagnant qui profite aux deux parties, chacun y trouve son intérêt pour une meilleure collaboration.

Catégories
Blog

TIM s’engage avec Paravol pour sécuriser vos vélos

Dans un objectif permanent d’améliorer notre service TIM Mobilité et la sécurité des salariés, nous venons de signer un partenariat avec Paravol.

La société française Paravol offre une solution simple pour lutter contre le vol et le recel des vélos grâce à un service de marquage en ligne.

L’ensemble des vélos de fonction et de flotte de vélos fournis par TIM sont équipés du système Paravol. Chaque vélo possède un numéro d’identification qui est associe le numéro de série du vélo à son propriétaire. Un sticker est apposé sur le cadre du vélo indiquant le numéro d’identification et un QR Code.

La base nationale Paravol lève un frein à l’utilisation quotidienne du vélo. Une fois le vélo enregistré sur la base, il devient identifiable et restituable par les forces de l’ordre ou tout autre personne.

Le service TIM Mobilité continue à renforcer la sécurité des salariés en intégrant le service Paravol dans l’ensemble des vélos mis à disposition. D’ores et déjà, les salariés bénéficient obligatoirement lors de la remise du vélo sur leur lieu de travail des équipements suivants: casque (Abus ou Cosmo Connected), cadenas (Abus), assurances contre le vol et la casse et une révision régulière sur site des vélos.

Pour en savoir plus sur Paravol : www.paravol.org

Catégories
Blog

Revivez le Webinar de TIM Sports avec Guy Hoquet et Happytech

Le jeudi 30 avril, Jérôme Blanc, Président de TIM Sports, a animé le Webinar sur le thème « COVID-19: et si le vélo était la solution mobilité pour protéger et fidéliser les salariés? ».

Après le 11 mai 2020, les entreprises se posent la question de la meilleure façon de faire revenir sur leur lieu de travail leurs salariés. TIM Sports a apporté des réponses avec la participation de l’un de ses clients, le groupe immobilier Guy Hoquet.

Pour voir ou revoir le Webinar, nous vous invitons à cliquer sur l’image ci-dessous :

Catégories
Blog

Le vélo, un formidable moyen de locomotion pour les déplacements de vos salariés

TIM Sports pense à vous en cette période de confinement et souhaite garder le lien avec ses clients. Nous vous proposons une interview de son Directeur Général, Alain Atlani.

Bonjour, la crise sanitaire actuelle aura-t-elle un impact sur nos modes de déplacement professionnel ?

Il est évident que la crise du Covid-19 aura un impact sur nos habitudes et donc sur nos modes de déplacements professionnels et non professionnels. L’attention que nous allons porter aux questions de santé publique, encouragera des modes de transports alternatifs aux transports en commun ou aux transports partagés.
Les modes de transports individuels et personnels vont se développer.

En milieu urbain, l’usage de la voiture individuelle étant coûteuse, polluante et chronophage, le vélo personnel offre une alternative intéressante.

ELABE[1] vient d’ailleurs de publier une étude sur l’impact de cette épidémie sur le comportement des français et 81% d’entre eux craignent  les transports en commun depuis l’épidémie du Covid-19 . On peut les comprendre avec la proximité des voyageurs, non application de la distanciation sociale, l’absence de nettoyage systématique des wagons, etc …

Vous insistez dans votre communication sur les biens-faits de la pratique du vélo pour la santé et le bien-être des « velotaffeurs ». Est-ce une conviction personnelle ou est-ce l’aboutissement d’études ?

Le vélo permet, en plus de se déplacer, de réaliser un exercice physique quotidien. L’OMS (« l’Organisme Mondial de la Santé ») préconise 30 minutes d’exercice physique par jour pour diminuer les risques cardio-vasculaires, les maladies chroniques ou l’obésité. Le vélo est un formidable outil pour améliorer la santé des individus et cela est confirmé par de très nombreuses recherches.

Récemment, une étude réalisée conjointement par des universités australiennes et néo-zélandaises[2], ont conclu que l’utilisation du vélo pour aller au travail réduit de 13% les risques de décès. Sa pratique permet aussi de nous rendre plus résistant et de gagner en qualité de sommeil.

Un autre aspect positif du vélo est l’impact positif sur l’humeur des salariés. Les « velotaffeurs » seraient plus heureux que ceux se déplaçant en voiture ou en transports en commun, d’après les résultats d’un sondage publiés dans la revue spécialisée suisse Transportation. 

Selon vous, quels sont les autres avantages du vélo pour ses déplacements professionnels ?

En plus des avantages indéniables au niveau de la santé, le vélo possède également plusieurs vertus non négligeables pour affronter le nouveau monde dans lequel nous allons rentrer suite à la crise du Covid-19.

Tout d’abord, le vélo est un mode de transport peu onéreux, pas de plein à faire, peu de taxes, peu de frais d’entretien ou de réparation, pas de parking coûteux ou de contraventions pour le stationnement.

Ensuite, c’est un mode de transport rapide. Aujourd’hui, un salarié passe 159h/an (environ 20 jours) s’il habite en région et 325h/an (environ 40 jours) s’il habite en Ile de France à faire des déplacements domicile-travail[3]. Cela est considérable et en milieu urbain et plus généralement pour les trajets de moins de 7 km, le vélo permet de réduire le temps de trajet des salariés, pour les trajets domicile-travail.

Je reviens sur la santé mais savez-vous que se rendre au travail en vélo participe à la diminution du stress pour les salariés. Le vélo ne connaît pas les grèves et est peu impacté par les embouteillages, cela permet au salarié d’anticiper le temps de ses déplacements et donc de gagner en sérénité en efficacité.

Enfin, le vélo est un mode de transport écologique. Il contribue à réduire notre empreinte carbone sur la planète : moins de rejets de gaz à effet de serre mais également moins d’émissions sonores. »

A titre personnel, pratiquez-vous le vélo pour vos trajets professionnels ?

Mon associé Jérôme Blanc s’est toujours déplacé à vélo pour ses trajets quotidiens c’est un adepte du triathlon ce qui lui permet de s’évader tous les week-ends sur un vélo de course.

De mon côté, j’étais un inconditionnel de la voiture à Paris. A la création de TIM Sports, mon associé m’a proposé d’utiliser le vélo à assistance électrique pour nous rendre au bureau et à nos rendez-vous professionnels. J’ai bien entendu accepté et aujourd’hui le constat est simple, ma voiture reste au parking et je prends mon vélo tous les jours»

Mais revenons à votre offre « TIM SPORTS ». Avez-vous constaté que les salariés souhaitent des vélos ? Sont-ils prêts à abandonner leurs voitures de fonction pour des vélos de fonctions ? Sont-ils prêts à renoncer à leurs abonnements aux transports en commun au profit d’un vélo ?  

Oui, totalement. Les salariés sont demandeurs d’alternative pour leurs déplacements professionnels mais les entreprises ne sont pas encore très réceptives à leurs demandes.

Deux études récentes vont dans ce sens.

87%[4] des travailleurs pensent que leurs entreprises devraient favoriser de nouvelles offres de mobilité. Et 73 %[5] des salariés estiment qu’elles ne prennent pas suffisamment de mesures en termes de mobilité.

C’est vraiment dommage que les sociétés ne prennent pas conscience des envies de leurs salariés car la mobilité est un facteur qui influe sur la productivité.

Une entreprise qui met en place des services de mobilité à de forte chance de voir sa productivité augmenter.

De plus, si elle le souhaite, elle a la possibilité de cumuler vélo de fonction et abonnement aux transports en commun. Cela permet au salarié d’utiliser les transports en commun en cas de mauvais temps pour se rendre sur son lieu de travail ou bien se rendre à un rendez-vous trop éloigné.»

Que proposez-vous à ces sociétés ? Quelle solution de mobilité offre TIM Sports à ces entreprises et à ces salariés ?

TIM Sports propose le service TIM Mobilité dans le cadre de la qualité de vie des salariés en entreprise, la mise en place de flottes de vélos ou de vélos de fonction.

La flotte de vélo est partagée entre les différents salariés de l’entreprise et elle sert essentiellement à se rendre aux rendez-vous durant la journée de travail.
Tandis que le vélo de fonction est dédié à un salarié, il l’utilise pour ses déplacements professionnels mais également personnel.

Le vélo de fonction ouvre droit à un crédit d’impôt pour l’entreprise.

 TIM Mobilité est proposé en location longue durée, entre 12 et 48 mois. En plus de fournir le matériel, nous conseillons et accompagnons nos clients tout au long de la location. Pour cela nous avons créé un écosystème pour satisfaire au mieux nos clients avec des nombreux fournisseurs.

Notre offre de base comporte toujours la location du vélo à assistance électrique ou non, un casque connecté de la marque « Cosmo Connected », un cadenas « Abus » et assurons le remplacement de votre vélo contre le vol et la réparation en cas de casse.
Notre client peut aussi choisir un service d’entretien sur site de ses vélos par l’un de nos prestataires certifiés.

A la fin de la location, l’entreprise nous restitue les vélos et TIM Sports s’engage à les offrir à des associations caritatives que nous avons sélectionnées dans la réinsertion ou l’aide aux jeunes en difficultés.

Dernièrement TIM Sports a noué un partenariat avec la marque de vélos connectés belges Cowboy qui seront proposés principalement en vélos de fonctions.

Enfin, nous avons intégré le label Happytech le mois dernier qui est une association qui regroupe les meilleures sociétés qui œuvrent pour améliorer la qualité de vie au travail des salariés. »


[1] Elabe est un cabinet d’études et de conseil français (www.elabe.fr )

[2] Etude scientifique parue le 13 janvier 2020 dans l’International Journal of Epidemiology

[3] Sondage « Les salariés et la mobilité » réalisé par BVA Opinion en septembre 2018

[4] Sondage réalisé par BVA-PopEcho et Salesforce en septembre 2018

5] Sondage « Les salariés et la mobilité » réalisé par BVA et Salesforce en septembre 2018

Catégories
Blog

Les 5 règles d’or du « vélotaf »

A Paris, les grèves des transports ont créé l’occasion (ou l’obligation) de « vélotafer », soit enfourcher son vélo pour se rendre au travail. Voici comment faire de l’exception une vertueuse habitude.

https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2020/02/23/velotafer-s-y-mettre-et-ne-pas-decrocher_6030501_4497916.html

Par Marlène Duretz

Le « vélotaf », mot-valise de « vélo » et « taf » (« travail » en argot), consiste à utiliser une bicyclette pour ses trajets domicile-bureau. Depuis les grèves des transports en commun de décembre 2019, de nombreux « néovélotafeurs » sont apparus, défiant les éléments et les obstacles. Cinq commandements pour s’accrocher au guidon.

  • Ta distance, tu évalueras

Tout cycliste occasionnel, voire inconnu au bataillon du deux-roues jusqu’ici, peut se mettre facilement en selle dès lors qu’il ne s’attaque pas d’emblée à l’ascension du mont Ventoux. « Huit kilomètres aller-retour, c’est rien, estime Julien Rabier, 32 ans, qui a adopté le vélo pour se déplacer à La Rochelle en 2017. Juste quelques dizaines de minutes sans forcer, tu n’as même pas le temps de transpirer. » Pour le créateur du blog « Cestbiendetrebien.com », consacré au running, trail et bikepacking, « pas besoin d’avoir de grosses bases. Tu prends vite le pli, et tu progresses rapidement ».

« Le vélo est surtout utilisé lorsque le lieu de travail se trouve jusqu’à 4 kilomètres du domicile »

2 % d’actifs français rejoignent leur travail à vélo pour des distances majoritairement inférieures à 5 km, rarement plus de 10 km. C’est même le mode de déplacement qui rend « le plus heureux », selon les conclusions d’une étude de l’université du Minnesota.

Et c’est assez rapide en ville : de 10 km/h à 16 km/h en moyenne – autour des 20 km/h pour le vélo à assistance électrique, ou VAE. « Le vélo est surtout utilisé lorsque le lieu de travail se trouve jusqu’à 4 kilomètres du domicile, et décroît au-delà, observent Frédéric Tallet et Vincent Vallès, auteurs de l’étude Partir de bon matin, à bicyclette (Insee Première, janvier 2017). Pour les distances de plus de 15 kilomètres, les vélotafeurs sont moins de 0,5 %. »

  • Ton biclou, tu choisiras

« La condition physique n’est pas déterminante dans le choix du vélo mais l’usage qu’on en fait au quotidien, si, considère Olivier Oudin, cofondateur de Monsieur Cycles, vélociste à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) depuis 2013. De plus, tout ce qui apporte du confort sur un vélo, c’est du poids en plus à déplacer. »

Le cycle adopté par le vélotafeur, qu’il le préfère VTT, « tout-chemin », électrique, hollandais ou pliant, dispose au minimum d’une selle suffisamment confortable pour qu’il n’en garde pas le souvenir une fois qu’il en est descendu, d’une chaîne graissée, d’une sonnette audible à plus de 50 mètres, de pneus en bon état et bien gonflés, ainsi que de deux dispositifs de freinage efficaces. Et d’un éclairage en état de marche.

« Pour garantir le meilleur rendement, le vélo doit être adapté à la taille du cycliste, lui permettre d’être plutôt assis que couché pour une meilleure visibilité en ville et disposer de grandes roues pour lui offrir le plus grand déploiement possible et une meilleure adhérence, préconise Olivier Oudin. Côté réglages, la pointe des pieds, a minima, vient toucher le sol pour assurer les arrêts en toute sécurité, et le gonflage des pneus est à vérifier une fois par mois », selon ce spécialiste du vélo hollandais.

Bien que cinq fois plus cher en moyenne qu’un vélo classique, le VAE représente désormais 13 % du marché français du cycle (Observatoire du cycle, 2018). A recommander pour les longues distances, et pour les mollets en quête d’une assistance électrique au pédalage.

  • La sécurité, tu privilégieras

Outre le respect du code de la route qui s’applique aux cyclistes, et sauf dispositions spécifiques à une ville, la sécurité à vélo passe par trois fondamentaux selon Olivier Schneider, président de la Fédération des usages de la bicyclette : préparer son trajet, être visible, et équipé de bons freins.

« Il est primordial que le néophyte détermine l’itinéraire qu’il va emprunter, privilégiant les infrastructures cyclables sur son chemin, plus sécurisées », insiste M. Schneider. Son vélo doit par ailleurs être obligatoirement équipé de feux de position, non clignotants, de catadioptres (dispositifs rétroréfléchissants), blancs à l’avant, rouges à l’arrière, et de catadioptres orange sur les pédales et les roues. Pour accentuer sa visibilité, sac, veste et/ou gilet à bandes réfléchissantes sont à endosser, ce dernier étant obligatoire hors agglomération de nuit et par faible visibilité (pluie, neige, brouillard).

En cas d’accident, le casque réduit les traumatismes crâniens, mais « ne peut rien contre un SUV de 2 tonnes »

Quant au casque, obligatoire pour les moins de 12 ans, « je ne le décourage pas », explique M. Schneider, qui défend le principe de « la sécurité par le nombre », selon lequel « plus il y a de vélos sur l’espace public, plus ils sont prévisibles par les autres usagers, mieux ils sont vus et le risque d’accident décroît ». Un casque qui, s’il est adopté, est ajusté et léger, aux sangles bien régléesEn cas d’accident, il réduit les traumatismes crâniens, mais « ne peut rien contre un SUV de 2 tonnes », souligne M. Schneider. Il reste toutefois « fortement recommandé » par la Sécurité routière.

Enfin, à vélo, pas de casque audio, d’écouteurs ou d’oreillettes, pas plus que de smartphone à la main, infraction passible d’une amende de 135 euros, sans perte de points sur le permis de conduire.

  • Les éléments, tu contreras

Le vélotafeur va forcément essuyer une averse impromptue, se démener contre un vent glacial, ou suer à grosses gouttes sous un soleil de plomb ou sous le poids d’une doudoune inadaptée. « Le vélotafeur porte en général des vêtements de saison qu’il va garder tout au long de la journée. Ou du moins essayer ! », explique Julien Rabier.

En hiver, l’ultratraileur accro de la petite reine superpose les couches à la manière d’un oignon, l’air interstitiel l’isolant du froid. En toute saison, il privilégie les tissus respirants et garde à portée de main un pantalon et une veste (ou cape) de pluie ainsi que des couvre-chaussures. « Je déconseille le port de la capuche, qui gêne la visibilité latérale. De toute façon, t’es censé avoir ton casque… », ajoute-t-il.

Les plus frileux ajouteront à leur panoplie des gants et une cagoule, à glisser sous le casque. Préférer le tour de cou à l’écharpe au long cours qui aime à flirter avec les rayons de roue. Enfin, pour éviter les « coups de chaud », diminuer la vitesse de ses tours de pédalier le temps que le corps s’habitue à l’effort.

  • En pragmatisme, tu gagneras

Arrivé sur son lieu de travail, tout le petit barda du vélotafeur, humide ou détrempé, appréciera d’être séché, ou ne serait-ce qu’aéré, accroché à même le vélo s’il est entreposé dans un local, ou suspendu à un portemanteau.

Eviter le séchoir au beau milieu du bureau, ou la liquette malodorante sur le dossier de la chaise. « Je fais sécher ma veste sur un cintre accroché à l’armoire de mon bureau, et le pantalon, si besoin, sur le convecteur », explique Anna, 26 km par jour en VAE depuis dix ans en région parisienne. Dans son caisson, la quinqua dispose d’une paire de chaussures et d’une tenue de rechange cohabitant avec une pompe à vélo. « Ma chef accroche ses vêtements mouillés au paper board, personne n’ose rien dire. »

Panier et/ou sacoche(s) amovibles, ainsi qu’un sac à dos imperméable, viennent agrémenter sa monture, engrangeant au gré des saisons le protège-selle, la gourde, le déo, les lunettes de soleil, ou transparentes pour ne pas verser sa larme, les emplettes ou encore la pince à vélo, le short à glisser sous la jupette à défaut du Poupoupidou, pince à jupe aimantée.

Catégories
Blog

Guy Hoquet – Agence Auteuil fait confiance à TIM Sports

L’agence immobilière Guy Hoquet – Agence Auteuil a décidé de souscrire au service TIM Mobilité en équipant son agence avec une flotte de vélos. Cela va permettre de faciliter les déplacement des commerciaux mais également réduire les coûts de déplacement, supprimer le paiement des stationnements et des contraventions et surtout toujours être à l’heure aux rendez-vous en évitant les bouchons! Vélo et immobilier font bon ménage!

Les collaborateurs vont pouvoir utiliser des vélo pliables de la marque française O2 Feel. Ces vélos sont pratiques afin de pouvoir les rentrer dans les immeubles mais également pour se faufiler entre les voitures coincées dans les embouteillages.

Catégories
Blog

Résolution 2020 : rejoignez la « Tim » de Jérôme Blanc

Pourquoi avoir quitté l’univers de la gestion d’actifs ?

J’ai connu deux expériences exceptionnelles et différentes à la fois à La Financière de l’Echiquier ainsi que chez Trusteam, mais dans un coin de ma tête j’ai toujours eu la volonté de tenter une aventure entrepreneuriale non pas dans la finance mais dans l’univers du sport. Je suis un amoureux du sport quelqu’il soit et de la performance. Je pratique moi-même plusieurs sports soit en loisir soit en compétition : ski, tennis, triathlon, football, ski nautique, …

Comment s’appelle votre nouvelle société ?

J’ai créé il y a quelques mois TIM Sports qui propose une solution innovante dans le sport et le bien-être en entreprise. Je me suis aperçu que les entreprises offraient toujours les mêmes offres de sport pour leurs employés : du coaching et/ou des abonnements pour des salles de fitness. Mais rien n’était proposé au sportif qui font du sport en plein air nécessitant un équipement sportif. Grâce à ce projet innovant nous avons la chance d’être incubé chez Schoolab.

Avec TIM, les entreprises peuvent désormais proposer une solution pour leurs salariés.

Pouvez vous nous présenter votre offre ?

TIM propose des solutions de services aux entreprises autour du sport, innovante attractive et fidélisant pour leurs salariés grâce à de la location longue durée d’équipements sportifs. Cela permet d’offrir un accès aux matériels sportifs afin d’améliorer leur sentiment de bien-être au travail.

Nous mettons en place dans les locaux des entreprises un vestiaire sportif pour ses salariés. Le matériel est proposé en location longue durée (24 à 48 mois) accompagné de nombreux services (assurance, entretien, coaching …). Nous couvrons l’ensemble des sports qui nécessitent l’acquisition d’un matériel onéreux : cyclisme, golf, ski, équitation, tennis, salle de fitness … Nous vous accompagnons durant toute la durée de la location pour vous assurer la meilleure qualité du matériel mis à disposition.

TIM propose également une deuxième offre, dans le cadre de la mobilité urbaine nous mettons à disposition des flottes de vélos ou bien des « vélos de fonction » toujours accompagnés de nombreux services (assurances, entretien, casque, cadenas, personnalisation des vélos, …).

Pour les vélos de fonction votre société peut obtenir un crédit d’impôt significatif. En effet, pour une location d’au moins 36 mois, l’entreprise peut déduire 25% de l’ensemble des frais de location (comprenant la location, l’assurance et l’entretien) du montant de son impôt sur les sociétés dans le cadre des déplacements domicile-travail de son salarié.

Pourquoi est-il important de proposer des solutions sportives aux salariés ?

Les employés sont demandeurs d’offres sportives au sein de leurs entreprises et notamment les Millennials. Cette nouvelle génération de salariés est à la recherche de bien-être dans leur travail. Sans ce sentiment de bien-être les Millennials n’hésitent pas à changer rapidement de travail. Pour un employeur le fait de proposer des solutions de sportives permet de baisser le turnover en fidélisant ses équipes, améliorer la santé de ses employés et donc indirectement diminuer les arrêts maladies et l’absentéisme.

Aujourd’hui, il n’y a plus d’excuses pour ne pas proposer des offres sportives au sein de son entreprise car le gouvernement vient de décider que le sport en entreprise n’est plus considéré comme un avantage en nature. Il est donc primordial d’intégrer ou d’augmenter les offres de bien-être et de sport en entreprise. Il est temps de rejoindre la TIM !

Article publié par Zoom Invest, le 19 décembre 2019