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Challenges : « Mobilité: et si vous passiez au vélo de fonction ? »

Tim Sports (né en 2019), s’appuie sur des partenariats avec les constructeurs directement. La start-up loue les modèles de vélos sélectionnés aux entreprises, via des contrats de un à quatre ans. Pour un prix global (vélo, maintenance, assurance, casque et cadenas) compris entre 35 et 150 euros par vélo, l’employeur peut donc proposer un vélo de fonction à ses salariés. Il prend en charge 70% du prix de la location, le reste étant prélevé directement sur la fiche de paie du collaborateur. A la fin du contrat, les vélos sont donnés à des associations, et remplacés par de plus récents par Tim Sports. « Les vélos électriques évoluent très vite, nous fournissons toujours des vélos récents, sans mettre au rebut les anciens », détaille Jérôme Blanc, co-fondateur de la jeune pousse.

Qualité de vie au travail

 

Un modèle “tout bénef” pour Emilie Deslogis, analyste à la Financière de l’échiquier. “Après le premier confinement je n’étais pas à l’aise avec l’idée de reprendre les transports en commun, je n’avais jamais fait de vélo à Paris, mais je me suis mise à utiliser les Vélib”. Quand son employeur lui a proposé de bénéficier d’un vélo de fonction Tim Sports, plus fiable que les vélos en libre service, elle n’a donc pas hésité longtemps: « Pour 17 euros par mois j’ai un beau vélo électrique, qui me permet d’aller au travail en 35 minutes, autant qu’en transports en commun, et c’est beaucoup plus agréable de longer les quais de Seine que de prendre le métro. En faisant un peu de sport, j’ai vraiment l’impression d’être plus productive pendant ma journée. » Avec ce système, cette Parisienne bénéficie donc d’un vélo à assistance électrique pour 612 euros sur trois ans, (la durée du contrat de son entreprise), alors que le prix d’achat moyen d’un tel vélo se situe entre 1.500 et 2.000 euros selon l’UFC Que Choisir.

 

Pour l’employeur d’Emilie Des Logis aussi l’expérience est positive. « Nous avons 25 collaborateurs équipés de vélos de fonction, sur environ 120 salariés », témoigne Bertrand Merveille, directeur général délégué de la Financière de l’échiquier, et lui-même « vélotafeur » de longue date. Depuis le déconfinement du printemps 2020, l’entreprise a choisi d’offrir ce service à tous ses salariés en CDI. Un investissement de quelques milliers d’euros, associé à un crédit d’impôt « non négligeable » (depuis janvier 2019 la location de vélos ouvre le droit à un crédit d’impôt de 25% pour les entreprises ), qui permet à la Financière de l’échiquier de proposer un service « satisfaisant pour tous », améliorant la qualité de vie au travail, et sa marque employeur par la même occasion. 

 

Le garage de l’entreprise a tout de même dû subir quelques ajustements. « Nous avons fait installer des rails pour les vélos, mais aussi des prises et des chargeurs, et même un équipement pour regonfler les pneus ». C’est aussi là que le prestataire de Tim Sports, Repair and Run, réalise la maintenance des vélos deux fois par an, directement sur le lieu de travail « pour préserver la productivité ». 

Santé et fiscalité

 

Quant au risque d’accident, si Bertrand Merveille y a pensé avant la mise en place de la location, il dit avoir été vite rassuré par l’assurance, la maintenance et les équipements de sécurité fournis dans le package de Tim Sports: casque et gilet orange. 

 

Enfin, contrairement à la voiture de fonction, le vélo de fonction n’est pas considéré comme un avantage en nature, puisque l’employé paye un pourcentage supposé couvrir son usage personnel, et n’est donc soumis à aucune charge. En outre, alors que la voiture est généralement réservée aux cadres, pas de discrimination pour le vélo, le service est généralement offert à tous, des standardistes aux dirigeants.

 

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Aller au travail à vélo

Coralie, webdesigner, a opté pour le vélo de fonction pour rendre ses trajets travail-domicile plus agréables.

Quels modes de transports utilisiez vous avant de choisir un vélo de fonction? 

Avant je prenais les transports en commun, je passais en moyenne plus d’une heure par jour dans les métros sans voir la lumière du jour. J’étais enfermée dans le rythme “métro boulot dodo”, j’avais l’impression de perdre mon temps.

Comment le vélo de fonction a-t-il changé votre vie ?

Je n’ai plus le stress d’arriver en retard et mon trajet est plus agréable. Le matin, cela me permet de prendre de l’air frais avant de travailler. Le soir, faire du vélo me permet d’avoir une vraie coupure entre le travail et la maison, j’arrive chez moi détendue.

Qu’est-ce qui vous a fait changer de mode de transport ?

Pendant les vacances, j’ai l’habitude de visiter les villes en vélo. Quand j’ai vu que mon entreprise proposait des vélos de fonction, je n’ai pas hésité à sauter le pas moi aussi.

Avez-vous eu des appréhensions ?

Un peu, j’avais surtout peur de rouler au milieu des voitures. Finalement à Paris, les routes sont bien aménagées, je roule majoritairement sur les pistes cyclables. En étant responsable, il y a peu de risque d’avoir un accident. 

Quel vélo avez-vous choisi ?

J’avais un choix de vélos proposés par mon entreprise, j’ai pu regardé les différents modèles proposés et les comparer.  J’ai opté pour  le vélo de ville VOG OD7 de chez O2 Feel . Ce vélo électrique est parfait pour moi car il dispose d’une longue autonomie. Je peux me balader sans me soucier d’un manque de batterie. 

Le plus ?

La liberté. Avant, le chemin était le même, très routinier. Maintenant, je peux décider de mon trajet. Après le travail, j’adore changer de route pour découvrir de nouveaux quartiers. Pour la même durée de transport, j’ai l’impression de prendre mon temps ce qui est très agréable après une journée parfois stressante. 

 

 

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INTERVIEW – Pascal Teurquetil

Interview - Pascal Teurquetil 

1/ Utilisez-vous le vélo par plaisir, par conscience écologique, ou pour éviter les embouteillages ?

Ces 3 raisons me semblent complémentaires et correspondre à une évolution sociétale. Comme beaucoup, la prise de conscience du réchauffement climatique, la nécessité de mieux respecter l’environnement et de réduire les émissions carbone constituent à mes yeux des priorités personnelles mais aussi professionnelles. Le vélo est une des réponses à la transition environnementale liée au développement de la mobilité douce. On allie plaisir et éco-citoyenneté, santé et écologie. Les solutions électriques plus récentes permettent aisément de se déplacer en évitant les embouteillages, c’est aussi un avantage non négligeable quand on connait la densité de circulation dans les villes qui ne cesse d’augmenter.

2/ Quelles satisfactions vous apportent vos déplacements à vélo ?

Pour l’instant, je n’ai que trop peu eu d’occasion d’utiliser le vélo pour me déplacer dans mon propre cadre professionnel. Je dois en effet me rendre régulièrement dans les différentes régions françaises où se situent les différents sites industriels de mon groupe ou encore me déplacer à l’international. J’en ai plutôt un usage personnel et familial. C’est un vrai plaisir de pouvoir se déplacer rapidement notamment dans Paris et c’est aussi un moyen de redécouvrir la ville des lumières en sachant flâner par moment et admirer la beauté de cette ville. C’est un moyen idéal de se maintenir en forme : le sport a toujours été et reste encore un vrai plaisir et une part importante de mon propre équilibre de vie.

Pouvoir partager cette passion en famille est aussi un attrait non négligeable de la pratique du vélo. Les Hollandais l’ont compris depuis longtemps et je crois que les Français rattrapent leur retard en la matière.

3/ Pour vous quels seront les moyens de mobilité pour les trajets domicile-travail dans la ville de demain ?

Je me sens très concerné par l’évolution des villes en France mais aussi dans le monde puisque je suis vice-président de la task force ville durable au MEDEF International. Le monde change, l’urbanisation évolue drastiquement et les villes que nous connaissons aujourd’hui vont se transformer radicalement. Aujourd’hui 50% de la population mondiale vit dans des villes, demain ce sera 75%, c’est dire l’importance de repenser la ville. De nombreuses initiatives très positives ont déjà vu le jour pour mieux vivre dans les villes. La qualité d’air, le développement durable, la mobilité douce font partie de l’agenda porté par de nombreux états et de nombreux maires. Bien évidemment, la mobilité électrique avec en tête le vélo électrique ou la voiture électrique voire autonome, le tramway, le bus électrique, la trottinette sont de plus en plus plébiscités et c’est tant mieux dans le cadre de la transition écologique. Pour le vélo, tout particulièrement, les efforts apportés à la sécurité des voies cyclables contribuent sans nul doute à son succès qui ne se dément pas.

Les initiatives fiscales menées par nos politiques démocratisent d’autant plus ce moyen de mobilité devenu incontournable. C’est un vrai succès qu’on ne peut que saluer !

4/ Seriez-vous prêt à proposer à vos employés des vélos de fonction ?

La responsabilité sociétale et environnementale se développe de plus en plus au cœur des entreprises citoyennes. C’est bien sûr notre cas et nous nous devons de favoriser toutes les solutions qui vont permettre de préserver l’environnement mais aussi de sensibiliser nos équipes à la décarbonation et tenter d’améliorer leur bien-être au travail. Nous devenons progressivement une entreprise à mission et nous nous devons de donner du sens à nos actions du quotidien en prenant part positivement à la transformation de la société dans laquelle nous vivons. Cela fait partie intégrante du rôle des chefs d’entreprises et plus largement des entrepreneurs. Equiper nos sites de bornes électriques de recharge, de voitures électriques ou encore proposer des vélos de fonction rentrent dans l’évolution logique des choses en tant qu’acteur de la transition environnementale. Cela fait certainement partie du bien-être des équipes mais aussi de l’image positive de la marque employeur. Le monde change, il faut que nous devenions acteur de ce changement.

5/ Question bonus:  A vélo vous êtes plutôt en mode: Tour de France, découverte du patrimoine ?

La liberté, c’est d’avoir le choix. Avec le vélo, on peut faire les deux. Se dépasser en pratiquant un sport idéal pour s’entretenir physiquement mais aussi prendre le temps de la découverte en profitant du patrimoine exceptionnel et unique que nous avons la chance de détenir en France et que le monde entier nous envie !

  

 Envie de connaître plus d’avis ? Découvrez l’interview de Thomas Saint-Aubin

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Détours: « TIM Sports, la startup qui veut imposer le vélo de fonction dans les entreprises »

Retrouvez l’article de Détours sur le vélo de fonction dans les entreprises en cliquant juste ici.

Apprenez un peu plus sur notre service TIM Mobilité.

 

 

 

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INTERVIEW – Selma Khaled

Interview - Selma Khaled

Quelles étaient vos habitudes avant de découvrir le vélo ?

Avant de découvrir le vélo, j’utilisais surtout les transports en commun. Je me déplaçais en métro et en bus.

Pourquoi avoir choisi d’utiliser un vélo de fonction ?

J’ai commencé à utiliser le vélo pour me rendre au travail fin 2019, pendant la grève. J’avais besoin d’une alternative aux transports en commun. J’ai testé le vélo électrique, qui m’a beaucoup plu. En arrivant chez Seraphin.Legal, je me suis renseignée sur Tim Sports et j’ai décidé de transmettre leur brochure à Thomas Saint-Aubin, mon employeur. Coup de chance, proposer un vélo de fonction était déjà dans ses projets et une grande partie de l’équipe était familière avec le vélo. Après avoir étudié différents prestataires, Tim Sports s’est imposé comme le plus intéressant.

Aujourd’hui, j’utilise le vélo aussi bien dans ma vie professionnelle que personnelle. C’est une excellente alternative aux transports publics et cela me permet de décompresser après une journée de travail et d’éviter l’effet cluster des transports en période de crise sanitaire.

 

Quels sont pour vous les avantages du vélo de fonction pour les femmes ?

Éviter les transports en commun bondés, avoir une réelle indépendance, il y a plusieurs avantages à utiliser le vélo pour les Parisiennes et les Parisiens.

Je me sens beaucoup plus à l’aise dans la rue avec un vélo qu’en électrique que dans le métro. Je n’ai pas à regarder derrière mon épaule à partir d’une certaine heure.

De plus, je ne suis pas très sportive et travaille toute la journée devant un écran donc le vélo me permet de m’aérer 30min par jour.

Enfin, cela représente aussi une économie d’un point de vue financier. Avant, je prenais beaucoup de VTC en fin de soirée lorsqu’il n’y avait plus de métro, ce qui me coûtait assez cher. Aujourd’hui j’économise aujourd’hui environ 15 euros par mois grâce au vélo de fonction par rapport à un abonnement classique pour les transports en commun.

En tant que femme, aviez-vous des craintes avant de commencer le vélo ?

Oui plusieurs. Je vis à Paris depuis 6 ans et j’entendais souvent parler de personnes qui se faisaient percuter à vélo en l’absence d’infrastructures sécurisantes. Les choses ont clairement évolué depuis le 1er confinement avec la pérennisation de certaines corona-pistes.

Au-delà de craintes, je pense que certaines femmes peuvent hésiter à plusieurs fois avant d’opter pour le vélo car certaines tenues de travail plus formelles ne s’adaptent pas à la pratique. Le fait de ne pas devoir porter un tailleur et de pouvoir nous changer au bureau est tout de même un sacré avantage pour nous chez Seraphin.legal.
Sans parler de l’éternel problème du vêtement : il n’est pas évident de faire du vélo en jupe ou en short. On se sent scruté et épié à chaque feu mais finalement le constat est le même dans les transports publics donc autant profiter de nos trajets en vélo !

Que diriez-vous aux femmes qui hésitent à sauter le pas pour pratiquer le vélo ?

Je m’adresserais principalement à certains équipementiers qui devraient peut-être adopter une démarche plus inclusive et adapter leurs produits à la physionomie des femmes. Toutes les femmes ne veulent pas se voir placées dans la catégorie vélo de ville bucolique à tenue droite (aussi beaux soient-ils).

Pour les femmes qui hésiteraient à adopter le vélo par peur de l’insécurité routière, nombreuses sont les villes qui ont procédé à des aménagements qui se voient au quotidien et sécurisent nos trajets : profitons-en !

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INTERVIEW – Thomas Saint-Aubin

Interview - Thomas Saint-Aubin

Utilisez-vous le vélo par plaisir, par conscience écologique, ou pour éviter les embouteillages ?

C’est d’abord et avant tout un pur plaisir qui concrétise des convictions écologiques. Personnellement je n’ai pas le permis de conduire, en temps normal, je passe mes journées à sillonner Paris pour mes rendez-vous. J’ai l’impression de voler depuis que j’ai mon vélo Cow-boy ! Cumulé aux efforts consentis par la ville sur les pistes cyclables et au fait de ne plus jamais prendre les transports en commun, avec ce vélo, j’ai vécu un grand changement dans ma vie quotidienne, à titre professionnel et personnel.

Quelles satisfactions vous apportent vos déplacements à vélo ?

J’en citerai deux : prendre les quais le matin et voir la nature s’éveiller sur les quais de Seine et sortir un peu le nez des écrans et des sollicitations numériques le temps d’un trajet à vélo.

Pourquoi avoir choisi de mettre vos salariés sur des vélos ? 

Au départ, la démarche s’inscrivait dans le cadre de notre projet RSE et l’implication de Seraphin.legal sur le respect de l’environnement. Proposer des vélos de fonction à notre équipe participait de cet engagement que nous prenons auprès de nos clients et de nos collaborateurs. A partir de septembre 2020, nous avons accéléré le processus. Au moment où la plupart des startups passaient en full remote et/ ou quittaient Paris, nous avons fait le choix de prendre de nouveaux locaux, plus spacieux et plus agréables pour notre équipe. Après le déconfinement, une partie de
notre équipe restait angoissée par les transports en commun et les risques associés : on a décidé de passer par Tim Sports afin d’allier bien-être et santé pour nos séraphins ! Depuis le début de mon aventure entrepreneuriale, je n’ai encore jamais eu de demande de voiture de fonction de salariés. En revanche, proposer des vélos de fonction devient un vrai argument pour notre marque employeur et attirer les talents.

Quelles étaient vos habitudes de mobilité pour vos trajets domicile-travail avant de découvrir le vélo ?

J’alternais entre les visages fermés et captivés par leur portable des voyageurs du métro et le stress de la circulation parisienne en VTC… Mes trajets domicile-travail sont devenus un vrai sas de décompression.

 

Comment ont réagi les employés à la mise en place du vélo de fonction ?

Evidemment la réaction fut excellente. Avec le contexte COVID, ils ont apprécié de voir que leur employeur cherchait des solutions pour leur bien-être. Nous leur permettons de garer leur vélo dans le local de l’entreprise donc cela leur permet de raccourcir considérablement le temps travail-domicile. Avec la généralisation du télétravail, certains ont même pris l’habitude d’alterner le travail à la maison avec le travail dans l’entreprise, en fonction des dossiers, au sein de la même journée.

Question bonus : en vélo, vous êtes plutôt en mode : Tour de France ou découverte du patrimoine ? 

Plutôt découverte du patrimoine : depuis plusieurs années, j’ai pris l’habitude de faire régulièrement le canal du midi à vélo entre Sète et Toulouse, à la fois pour pratiquer l’introspection et pour découvrir la formidable œuvre de Pierre-Paul Riquet. Je suis également un habitué de la voie verte en Bourgogne et de la route des grands vins. Sans assistance électrique pour le coup

  

 

 Envie de connaître plus d’avis ? Découvrez l‘interview de Bertrand Merveille



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