Le jeudi 30 avril, Jérôme Blanc, Président de TIM Sports, a animé le Webinar sur le thème « COVID-19: et si le vélo était la solution mobilité pour protéger et fidéliser les salariés? ».
Après le 11 mai 2020, les entreprises se posent la question de la meilleure façon de faire revenir sur leur lieu de travail leurs salariés. TIM Sports a apporté des réponses avec la participation de l’un de ses clients, le groupe immobilier Guy Hoquet.
Pour voir ou revoir le Webinar, nous vous invitons à cliquer sur l’image ci-dessous :
TIM Sports pense à vous en cette période de confinement et souhaite garder le lien avec ses clients. Nous vous proposons une interview de son Directeur Général, Alain Atlani.
Bonjour, la crise sanitaire actuelle
aura-t-elle un impact sur nos modes de déplacement professionnel ?
Il
est évident que la crise du Covid-19 aura un impact sur nos habitudes et donc
sur nos modes de déplacements professionnels et non professionnels. L’attention
que nous allons porter aux questions de santé publique, encouragera des modes
de transports alternatifs aux transports en commun ou aux transports partagés. Les modes de transports individuels et personnels vont se développer.
En
milieu urbain, l’usage de la voiture individuelle étant coûteuse, polluante et
chronophage, le vélo personnel offre une alternative intéressante.
ELABE[1] vient d’ailleurs de
publier une étude sur l’impact de cette épidémie sur le comportement des
français et 81% d’entre eux craignent les transports en commun depuis l’épidémie du Covid-19
. On peut les comprendre
avec la proximité des voyageurs, non application de la distanciation sociale, l’absence
de nettoyage systématique des wagons, etc …
Vous
insistez dans votre communication sur les biens-faits de la pratique du vélo
pour la santé et lebien-être
des « velotaffeurs ». Est-ce une conviction personnelle ou est-ce
l’aboutissement d’études ?
Le
vélo permet, en plus de se déplacer, de réaliser un exercice physique
quotidien. L’OMS (« l’Organisme Mondial de la Santé ») préconise 30
minutes d’exercice physique par jour pour diminuer les risques
cardio-vasculaires, les maladies chroniques ou l’obésité. Le vélo est un
formidable outil pour améliorer la santé des individus et cela est confirmé par
de très nombreuses recherches.
Récemment,
une étude réalisée conjointement par des universités australiennes et
néo-zélandaises[2],
ont conclu que l’utilisation du vélo pour aller au travail réduit de 13% les
risques de décès. Sa pratique permet aussi de nous rendre plus résistant et de
gagner en qualité de sommeil.
Un
autre aspect positif du vélo est l’impact positif sur l’humeur des salariés.
Les « velotaffeurs » seraient plus heureux que ceux se déplaçant en
voiture ou en transports en commun, d’après les résultats d’un sondage publiés
dans la revue spécialisée suisse Transportation.
Selon
vous, quels sont les autres avantages du vélo pour ses déplacements professionnels
?
En
plus des avantages indéniables au niveau de la santé, le vélo possède également
plusieurs vertus non négligeables pour affronter le nouveau monde dans lequel
nous allons rentrer suite à la crise du Covid-19.
Tout
d’abord, le vélo est un mode de transport peu onéreux, pas de plein à faire,
peu de taxes, peu de frais d’entretien ou de réparation, pas de parking coûteux
ou de contraventions pour le stationnement.
Ensuite,
c’est un mode de transport rapide. Aujourd’hui, un salarié passe 159h/an (environ
20 jours) s’il habite en région et 325h/an (environ 40 jours) s’il habite en
Ile de France à faire des déplacements domicile-travail[3]. Cela est considérable
et en milieu urbain et plus généralement pour les trajets de moins de 7 km, le
vélo permet de réduire le temps de trajet des salariés, pour les trajets
domicile-travail.
Je
reviens sur la santé mais savez-vous que se rendre au travail en vélo participe
à la diminution du stress pour les salariés. Le vélo ne connaît pas les
grèves et est peu impacté par les embouteillages, cela permet au salarié d’anticiper
le temps de ses déplacements et donc de gagner en sérénité en efficacité.
Enfin,
le vélo est un mode de transport écologique. Il contribue à réduire notre empreinte
carbone sur la planète : moins de rejets de gaz à effet de serre mais
également moins d’émissions sonores. »
A titre personnel, pratiquez-vous le
vélo pour vos trajets professionnels ?
Mon
associé Jérôme Blanc s’est toujours déplacé à vélo pour ses trajets quotidiens c’est
un adepte du triathlon ce qui lui permet de s’évader tous les week-ends sur un
vélo de course.
De
mon côté, j’étais un inconditionnel de la voiture à Paris. A la création de TIM
Sports, mon associé m’a proposé d’utiliser le vélo à assistance électrique pour
nous rendre au bureau et à nos rendez-vous professionnels. J’ai bien entendu
accepté et aujourd’hui le constat est simple, ma voiture reste au parking et je
prends mon vélo tous les jours»
Mais
revenons à votre offre « TIM SPORTS ». Avez-vous constaté que les
salariés souhaitent des vélos ? Sont-ils prêts à abandonner leurs voitures
de fonction pour des vélos de fonctions ? Sont-ils prêts à renoncer à leurs
abonnements aux transports en commun au profit d’un vélo ?
Oui,
totalement. Les salariés sont demandeurs d’alternative pour leurs déplacements
professionnels mais les entreprises ne sont pas encore très réceptives à leurs
demandes.
Deux
études récentes vont dans ce sens.
87%[4] des travailleurs
pensent que leurs entreprises devraient favoriser de nouvelles offres de mobilité.
Et 73 %[5] des salariés estiment
qu’elles ne prennent pas suffisamment de mesures en termes de mobilité.
C’est
vraiment dommage que les sociétés ne prennent pas conscience des envies de
leurs salariés car la mobilité est un facteur qui influe sur la productivité.
Une
entreprise qui met en place des services de mobilité à de forte chance de voir
sa productivité augmenter.
De
plus, si elle le souhaite, elle a la possibilité de cumuler vélo de fonction et
abonnement aux transports en commun. Cela permet au salarié d’utiliser les
transports en commun en cas de mauvais temps pour se rendre sur son lieu de
travail ou bien se rendre à un rendez-vous trop éloigné.»
Que proposez-vous à ces sociétés ?
Quelle solution de mobilité offre TIM Sports à ces entreprises et à ces
salariés ?
TIM
Sports propose le service TIM Mobilité dans le cadre de la qualité de vie des salariés
en entreprise, la mise en place de flottes de vélos ou de vélos de fonction.
La
flotte de vélo est partagée entre les différents salariés de l’entreprise et
elle sert essentiellement à se rendre aux rendez-vous durant la journée de
travail.
Tandis que le vélo de fonction est dédié à un salarié, il l’utilise pour ses
déplacements professionnels mais également personnel.
Le
vélo de fonction ouvre droit à un crédit d’impôt pour l’entreprise.
TIM Mobilité est proposé en location longue
durée, entre 12 et 48 mois. En plus de fournir le matériel, nous conseillons et
accompagnons nos clients tout au long de la location. Pour cela nous avons créé
un écosystème pour satisfaire au mieux nos clients avec des nombreux
fournisseurs.
Notre
offre de base comporte toujours la location du vélo à assistance électrique ou
non, un casque connecté de la marque « Cosmo Connected », un cadenas « Abus »
et assurons le remplacement de votre vélo contre le vol et la réparation en cas
de casse.
Notre client peut aussi choisir un service d’entretien sur site de ses vélos
par l’un de nos prestataires certifiés.
A
la fin de la location, l’entreprise nous restitue les vélos et TIM Sports
s’engage à les offrir à des associations caritatives que nous avons sélectionnées
dans la réinsertion ou l’aide aux jeunes en difficultés.
Dernièrement
TIM Sports a noué un partenariat avec la marque de vélos connectés belges
Cowboy qui seront proposés principalement en vélos de fonctions.
Enfin, nous avons intégré le label Happytech le mois dernier qui est une association qui regroupe les meilleures sociétés qui œuvrent pour améliorer la qualité de vie au travail des salariés. »
[1] Elabe est un cabinet
d’études et de conseil français (www.elabe.fr )
[2] Etude
scientifique parue le 13 janvier 2020 dans l’International Journal of
Epidemiology
[3] Sondage
« Les salariés et la mobilité » réalisé par BVA Opinion en septembre
2018
[4] Sondage
réalisé par BVA-PopEcho et Salesforce en septembre 2018
5] Sondage « Les salariés et la mobilité » réalisé par BVA et Salesforce en septembre 2018
A Paris, les grèves des transports ont créé l’occasion (ou l’obligation) de « vélotafer », soit enfourcher son vélo pour se rendre au travail. Voici comment faire de l’exception une vertueuse habitude.
Le « vélotaf », mot-valise de « vélo » et « taf » (« travail » en argot), consiste à utiliser une bicyclette pour ses trajets domicile-bureau. Depuis les grèves des transports en commun de décembre 2019, de nombreux « néovélotafeurs » sont apparus, défiant les éléments et les obstacles. Cinq commandements pour s’accrocher au guidon.
Ta distance, tu évalueras
Tout cycliste occasionnel, voire inconnu au bataillon du deux-roues jusqu’ici, peut se mettre facilement en selle dès lors qu’il ne s’attaque pas d’emblée à l’ascension du mont Ventoux. « Huit kilomètres aller-retour, c’est rien, estime Julien Rabier, 32 ans, qui a adopté le vélo pour se déplacer à La Rochelle en 2017. Juste quelques dizaines de minutes sans forcer, tu n’as même pas le temps de transpirer. » Pour le créateur du blog « Cestbiendetrebien.com », consacré au running, trail et bikepacking, « pas besoin d’avoir de grosses bases. Tu prends vite le pli, et tu progresses rapidement ».
« Le vélo est surtout utilisé lorsque le lieu de travail se trouve jusqu’à 4 kilomètres du domicile »
2 % d’actifs français rejoignent leur travail à vélo pour des distances majoritairement inférieures à 5 km, rarement plus de 10 km. C’est même le mode de déplacement qui rend « le plus heureux », selon les conclusions d’une étude de l’université du Minnesota.
Et c’est assez rapide en ville : de 10 km/h à 16 km/h en moyenne – autour des 20 km/h pour le vélo à assistance électrique, ou VAE. « Le vélo est surtout utilisé lorsque le lieu de travail se trouve jusqu’à 4 kilomètres du domicile, et décroît au-delà, observent Frédéric Tallet et Vincent Vallès, auteurs de l’étude Partir de bon matin, à bicyclette (Insee Première, janvier 2017). Pour les distances de plus de 15 kilomètres, les vélotafeurs sont moins de 0,5 %. »
Ton biclou, tu choisiras
« La condition physique n’est pas déterminante dans le choix du vélo mais l’usage qu’on en fait au quotidien, si, considère Olivier Oudin, cofondateur de Monsieur Cycles, vélociste à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) depuis 2013. De plus, tout ce qui apporte du confort sur un vélo, c’est du poids en plus à déplacer. »
Le cycle adopté par le vélotafeur, qu’il le préfère VTT, « tout-chemin », électrique, hollandais ou pliant, dispose au minimum d’une selle suffisamment confortable pour qu’il n’en garde pas le souvenir une fois qu’il en est descendu, d’une chaîne graissée, d’une sonnette audible à plus de 50 mètres, de pneus en bon état et bien gonflés, ainsi que de deux dispositifs de freinage efficaces. Et d’un éclairage en état de marche.
« Pour garantir le meilleur rendement, le vélo doit être adapté à la taille du cycliste, lui permettre d’être plutôt assis que couché pour une meilleure visibilité en ville et disposer de grandes roues pour lui offrir le plus grand déploiement possible et une meilleure adhérence, préconise Olivier Oudin. Côté réglages, la pointe des pieds, a minima, vient toucher le sol pour assurer les arrêts en toute sécurité, et le gonflage des pneus est à vérifier une fois par mois », selon ce spécialiste du vélo hollandais.
Bien que cinq fois plus cher en moyenne qu’un vélo classique, le VAE représente désormais 13 % du marché français du cycle (Observatoire du cycle, 2018). A recommander pour les longues distances, et pour les mollets en quête d’une assistance électrique au pédalage.
La sécurité, tu privilégieras
Outre le respect du code de la route qui s’applique aux cyclistes, et sauf dispositions spécifiques à une ville, la sécurité à vélo passe par trois fondamentaux selon Olivier Schneider, président de la Fédération des usages de la bicyclette : préparer son trajet, être visible, et équipé de bons freins.
« Il est primordial que le néophyte détermine l’itinéraire qu’il va emprunter, privilégiant les infrastructures cyclables sur son chemin, plus sécurisées », insiste M. Schneider. Son vélo doit par ailleurs être obligatoirement équipé de feux de position, non clignotants, de catadioptres (dispositifs rétroréfléchissants), blancs à l’avant, rouges à l’arrière, et de catadioptres orange sur les pédales et les roues. Pour accentuer sa visibilité, sac, veste et/ou gilet à bandes réfléchissantes sont à endosser, ce dernier étant obligatoire hors agglomération de nuit et par faible visibilité (pluie, neige, brouillard).
En cas d’accident, le casque réduit les traumatismes crâniens, mais « ne peut rien contre un SUV de 2 tonnes »
Quant au casque, obligatoire pour les moins de 12 ans, « je ne le décourage pas », explique M. Schneider, qui défend le principe de « la sécurité par le nombre », selon lequel « plus il y a de vélos sur l’espace public, plus ils sont prévisibles par les autres usagers, mieux ils sont vus et le risque d’accident décroît ». Un casque qui, s’il est adopté, est ajusté et léger, aux sangles bien réglées. En cas d’accident, il réduit les traumatismes crâniens, mais « ne peut rien contre un SUV de 2 tonnes », souligne M. Schneider. Il reste toutefois « fortement recommandé » par la Sécurité routière.
Enfin, à vélo, pas de casque audio, d’écouteurs ou d’oreillettes, pas plus que de smartphone à la main, infraction passible d’une amende de 135 euros, sans perte de points sur le permis de conduire.
Les éléments, tu contreras
Le vélotafeur va forcément essuyer une averse impromptue, se démener contre un vent glacial, ou suer à grosses gouttes sous un soleil de plomb ou sous le poids d’une doudoune inadaptée. « Le vélotafeur porte en général des vêtements de saison qu’il va garder tout au long de la journée. Ou du moins essayer ! », explique Julien Rabier.
En hiver, l’ultratraileur accro de la petite reine superpose les couches à la manière d’un oignon, l’air interstitiel l’isolant du froid. En toute saison, il privilégie les tissus respirants et garde à portée de main un pantalon et une veste (ou cape) de pluie ainsi que des couvre-chaussures. « Je déconseille le port de la capuche, qui gêne la visibilité latérale. De toute façon, t’es censé avoir ton casque… », ajoute-t-il.
Les plus frileux ajouteront à leur panoplie des gants et une cagoule, à glisser sous le casque. Préférer le tour de cou à l’écharpe au long cours qui aime à flirter avec les rayons de roue. Enfin, pour éviter les « coups de chaud », diminuer la vitesse de ses tours de pédalier le temps que le corps s’habitue à l’effort.
En pragmatisme, tu gagneras
Arrivé sur son lieu de travail, tout le petit barda du vélotafeur, humide ou détrempé, appréciera d’être séché, ou ne serait-ce qu’aéré, accroché à même le vélo s’il est entreposé dans un local, ou suspendu à un portemanteau.
Eviter le séchoir au beau milieu du bureau, ou la liquette malodorante sur le dossier de la chaise. « Je fais sécher ma veste sur un cintre accroché à l’armoire de mon bureau, et le pantalon, si besoin, sur le convecteur », explique Anna, 26 km par jour en VAE depuis dix ans en région parisienne. Dans son caisson, la quinqua dispose d’une paire de chaussures et d’une tenue de rechange cohabitant avec une pompe à vélo. « Ma chef accroche ses vêtements mouillés au paper board, personne n’ose rien dire. »
Panier et/ou sacoche(s) amovibles, ainsi qu’un sac à dos imperméable, viennent agrémenter sa monture, engrangeant au gré des saisons le protège-selle, la gourde, le déo, les lunettes de soleil, ou transparentes pour ne pas verser sa larme, les emplettes ou encore la pince à vélo, le short à glisser sous la jupette à défaut du Poupoupidou, pince à jupe aimantée.
L’agence immobilière Guy Hoquet – Agence Auteuil a décidé de souscrire au service TIM Mobilité en équipant son agence avec une flotte de vélos. Cela va permettre de faciliter les déplacement des commerciaux mais également réduire les coûts de déplacement, supprimer le paiement des stationnements et des contraventions et surtout toujours être à l’heure aux rendez-vous en évitant les bouchons! Vélo et immobilier font bon ménage!
Les collaborateurs vont pouvoir utiliser des vélo pliables de la marque française O2 Feel. Ces vélos sont pratiques afin de pouvoir les rentrer dans les immeubles mais également pour se faufiler entre les voitures coincées dans les embouteillages.
Pourquoi avoir quitté l’univers de la gestion d’actifs ?
J’ai connu deux expériences exceptionnelles et différentes à la fois à La Financière de l’Echiquier ainsi que chez Trusteam, mais dans un coin de ma tête j’ai toujours eu la volonté de tenter une aventure entrepreneuriale non pas dans la finance mais dans l’univers du sport. Je suis un amoureux du sport quelqu’il soit et de la performance. Je pratique moi-même plusieurs sports soit en loisir soit en compétition : ski, tennis, triathlon, football, ski nautique, …
Comment s’appelle votre nouvelle société ?
J’ai créé il y a quelques mois TIM Sports qui propose une solution innovante dans le sport et le bien-être en entreprise. Je me suis aperçu que les entreprises offraient toujours les mêmes offres de sport pour leurs employés : du coaching et/ou des abonnements pour des salles de fitness. Mais rien n’était proposé au sportif qui font du sport en plein air nécessitant un équipement sportif. Grâce à ce projet innovant nous avons la chance d’être incubé chez Schoolab.
Avec TIM, les entreprises peuvent désormais proposer une solution pour leurs salariés.
Pouvez vous nous présenter votre offre ?
TIM propose des solutions de services aux entreprises autour du sport, innovante attractive et fidélisant pour leurs salariés grâce à de la location longue durée d’équipements sportifs. Cela permet d’offrir un accès aux matériels sportifs afin d’améliorer leur sentiment de bien-être au travail.
Nous mettons en place dans les locaux des entreprises un vestiaire sportif pour ses salariés. Le matériel est proposé en location longue durée (24 à 48 mois) accompagné de nombreux services (assurance, entretien, coaching …). Nous couvrons l’ensemble des sports qui nécessitent l’acquisition d’un matériel onéreux : cyclisme, golf, ski, équitation, tennis, salle de fitness … Nous vous accompagnons durant toute la durée de la location pour vous assurer la meilleure qualité du matériel mis à disposition.
TIM propose également une deuxième offre, dans le cadre de la mobilité urbaine nous mettons à disposition des flottes de vélos ou bien des « vélos de fonction » toujours accompagnés de nombreux services (assurances, entretien, casque, cadenas, personnalisation des vélos, …).
Pour les vélos de fonction votre société peut obtenir un crédit d’impôt significatif. En effet, pour une location d’au moins 36 mois, l’entreprise peut déduire 25% de l’ensemble des frais de location (comprenant la location, l’assurance et l’entretien) du montant de son impôt sur les sociétés dans le cadre des déplacements domicile-travail de son salarié.
Pourquoi est-il important de proposer des solutions sportives aux salariés ?
Les employés sont demandeurs d’offres sportives au sein de leurs entreprises et notamment les Millennials. Cette nouvelle génération de salariés est à la recherche de bien-être dans leur travail. Sans ce sentiment de bien-être les Millennials n’hésitent pas à changer rapidement de travail. Pour un employeur le fait de proposer des solutions de sportives permet de baisser le turnover en fidélisant ses équipes, améliorer la santé de ses employés et donc indirectement diminuer les arrêts maladies et l’absentéisme.
Aujourd’hui, il n’y a plus d’excuses pour ne pas proposer des offres sportives au sein de son entreprise car le gouvernement vient de décider que le sport en entreprise n’est plus considéré comme un avantage en nature. Il est donc primordial d’intégrer ou d’augmenter les offres de bien-être et de sport en entreprise. Il est temps de rejoindre la TIM !
Article publié par Zoom Invest, le 19 décembre 2019
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