Depuis plusieurs années, la conscience écologique se réveille.
Dans les grandes métropoles, de plus en plus de personnes souhaitent ne plus utiliser leur voiture et cherchent une alternative responsable pour leur transport.
Dans les pays nordiques, le moyen de transport qui circule plus que les automobiles et qui s’est présenté, en France, comme le successeur naturel et écolo à la voiture : c’est le vélo. Devenu LA solution sanitaire depuis la crise du coronavirus, il connait un regain de popularité inouï.
Une ville plus propre grâce au vélo
Poussées par des plans gouvernementaux, les villes se piétonnisent et de nombreuses pistes cyclables sont créées pour aménager une ville plus agréable et moins polluée dans le but de dégorger les centres-villes.
Cette nouvelle alternative non polluante et sportive conquit de plus en plus de monde parmi les citadins et les entreprises. Depuis la crise sanitaire et les nouvelles règles d’hygiène, les employés de petits comme de grands groupes tentent d’éviter les transports en commun bondés et troquent leur Navigo contre un vélo pour aller au travail le matin et rentrer le soir à leur domicile.
L’engouement nouveau des entreprises pour le vélo de focntion
On remarque depuis plusieurs mois un réel engouement des entreprises pour cette nouvelle manière douce et écologique de rouler. Intensifiées par la crise de la Covid-19 et des municipales à prédominance écologique, les initiatives se multiplient aussi dans le monde du travail.
De nombreuses sociétés et start-up ont ouvert, proposant leurs services personnalisés aux entreprises afin qu’ils offrent à leurs employés la possibilité de véhicules de fonction nouvelle génération.
C’est le cas de TIM Sports avec son service TIM Mobilité qui a vu son portefeuille de clients multipliés par dix en l’espace de 6 mois. En effet, le vélo a de quoi plaire, il propose une alternative moins onéreuse pour les entreprises et plus impartiale en mettant tous les salariés sur un pied d’égalité, car tous peuvent profiter du vélo sans distinction hiérarchique, ce qui n’était pas le cas des véhicules de fonction et des places de parking.
Mais alors que penser du vélo, est-ce la meilleure solution à la pollution en ces temps de pandémie et de défi écologique ? Sur le papier oui, réparable, sans émission de CO2, le vélo classique ou à assistance électrique (VAE) reste LE mode de transport écologique. Ses seuls délateurs parleront de danger sur la route, et ils n’auront pas tort, même s’il ne s’agit que d’une question de temps avant que l’on ne fasse une place d’honneur au vélo, sur la route à l’image d’Amsterdam ou Copenhague par exemple.